JONATHAN , JOANNEWHEN I LOOK AT YOU Plus le temps passait et plus j’avais de papillons dans le ventre. J’avais cette impression de … tourner en rond sur le bateau, ça m’en donnait presque le mal de mer. J’attendais qu’il monte sur le bateau, mon portable dans les mains histoire de pouvoir le guider si jamais il ne me trouve pas. Ca allait être la première fois qu’on se voyait en vrai. Je ressentais cette envie de lui sauter dans les bras mais je savais très bien que quand il se portera en face de moi j’en serais incapable. «
Alors, tu m’trouves ou quoi ? j’suis pas cachée hein. » lui envoyais-je par message. Oui, toujours fidèle à moi-même. Je tenais mon portable dans mes mains et le serrait très fort contre moi en attendant qu'il me réponde. Je jette un oeil autour de moi des fois que je le verrais.. puis me mordis doucement la lèvre inférieure : cherche pas Joanne, si tu le vois, tu resteras sans bouger, aussi pétrifié qu'une statue. Mon coeur vibre.. ha non, mon portable. «
Ouais je sais ! Je dois avouer que je ne suis pas tellement doué pour me retrouvé sur un bâteau, pas plus qu’en ville, nulle part finalement … J’ai pas le sens d’orientation. » je souris en voyant le message puis me met contre les barres du pont en lui répondant. «
Tu sais.. un pont.. ça se voit ! Ou tu demandes. Fin, merde, trouves moi. Et puis achètes toi une boussole ! » j'envois puis souris légèrement, je pense à quand il se trouvera en face de moi : jo, tu vas mourir. C'est tellement angoissant que j'en ai envie de vomir tellement j'ai mal au ventre. Plus le temps passait et plus mon coeur se serrait, je le sentais. Les minutes passaient de plus en plus vite je me sentais comme une boule énergique, tremblante, par la peur de le voir. «
Je crois que j'arrive bientôt ... Patience, attends-moi ! » c'est à ce moment là où mon ventre me faisait encore plus mal et où j'avais l'envie de vomir. Le moment allait arrivé, celui qu'on attendait depuis longtemps. C'est fou ce que je peu avoir l'air niaise quand j'y repense. Jo reprends toi bordel. «
Je crois que je suis arrivé ... Regarde devant toi. », je lève la tête pour regarder devant moi, rapidement : l'océan. Je me tourne doucement, angoissé. C'est quand j'aperçu une silhouette, seulement, que je me précipita dans les bras de cette personne ne prenant pas le temps de croiser son regard. Je m'y sentais si bien et si soulager d'un seul coup mais mes tremblements étaient encore là. Plutôt emmerdeur ceux-là. «
Tu sens la clope mais putain ce que tu sens bon. » je souris légèrement, dans ses bras, heureuse. Je pouvais enfin sentir son parfum que je sentais à chaque fois que j'allais dans une parfumerie pour le sentir plus près de moi. «
Oh ! Je suis désolé... La nervosité c'est ce que ça fait. » dit-il doucement et c'est bizarre mais au final on avait ressenti le même sentiment : la nervosité. Une chose qui pourrait nous tuer sur le champs. J'avais toujours eut horreur de ça justement. Je n'aurais jamais penser qu'il aurait ressentit ça, à vrai dire qu'un homme pourrait être dans le même sal état. Pourtant je ne suis qu'avec des gars principalement. Je les vois un peu sans cœur par moment. «
Et toi ... T'es si belle... » je me mordis légèrement la lèvre inférieur et haussais les épaules «
C'est toi qui est beau. » je relève mon visage, doucement, et mon regard croise le sien. Des yeux d'ailleurs que je peu enfin détaillé et voir de plus près, des yeux que je n'avais encore jamais vraiment vu. Je passais une de mes mains sur son visage. «
tu piques.. » dis-je avant de sourire doucement. «
C'est noté, j'enleverrai tout cela ce soir. » je ris légèrement, le regardant toujours ou plutôt l'admirant. «
Non, j'aime. » je souris puis passa mon autre main sur sa joue opposée. Je me mordillais légèrement la lèvre. C'est fou ce que j'avais toujours rêver de ce moment depuis que l'on se connait et c'est bien mieux qu'à la webcam. Pourtant, c'est différent. On vivait ensemble par message, maintenant on vivra ensemble dans la même cabine. «
Si tu savais comment j'avais hâte d'être ici » oh oui, et moi aussi. Le fait d'être dans ses bras me donnait une joie de vivre surprenante, j'étais si bien que je n'avais plus envie de m'en séparer. Je rapprochais doucement mon visage du siens. «
Moi aussi et tu m'as trouvé. J'avais l'impression que d'un seul coup il arriverait quelque chose. Geenre, un élément perturbateur quoi. Pour nous empêchez de nous voir.. C'était si parfait ». «
Mise à part mon mauvais sens de l'orientation, je ne vois pas quoi qui aurait pu arriver, rien n'aurait pu m'empêcher d'embarquer sur ce bateau pour venir te voir. » effectivement je ne voyais pas non plus ce qu'il aurait bien pu arrivé pour nous empêcher de nous voir, mais j'avais eut cette impression parce que c'est un moment que j'ai toujours rêver de vivre depuis que l'on se connait et quand ça arrive servi sur un plateau d'argent, je n'y crois plus vraiment, je doute. «
Ouais, c'est vrai. Mais moi aussi j'étais nerveuse, en fait. Tu gardes ça pour toi, tu dis rien à mon frère. » je pointe mon doigt sur lui comme-ci je le menaçais puis lui souris. Si jamais Elias était au courant, il se foutrait de moi ! «
T'inquiète pas pour ça ! Je ne le lui dirai pas . Quant à toi, t'as personne à qui le dire, alors on n'a pas de problème sur mon côté.Pas de chance que quelqu'un soit au courant!» bon ça va, ça évitera les problèmes. Ma fierté en aurait pris un sacré coup si Elias aurait été mis au courant étant donner qu'on aime bien se taquiner tout les deux. Il riait, mon doigt toujours pointé sur lui. Je l'enlevais en souriant pour détournais le regard vers l'océan. «
Bon ben voilà, bienvenue sur la maison flottante quoi. Peut-être que demain on en finira comme dans Titanic, qui sait. » je me mordis la lèvre inférieure doucement en regardant les alentours, toujours aussi près de lui. «
En fait j'espère que non, parce que j'aimerais bien pouvoir profiter au max de ce voyage... Surtout que tu es là, devant moi. Pas de chance que je te laisse partir tout de suite. » je ris légèrement à sa réponse ne pouvant pas m'empêcher de mettre ma main légèrement devant ma bouche, mordillant mon doigt comme je le fais si souvent. «
Au pire moi je m'en fou, c'est toi qui crève, c'pas moi. » je me stoppais de rire, le regardant, amusée. Oui c'est vrai que dans Titanic, Rose survie. Alors peut-être que ce serait comme ça aussi si jamais le bateau s'échouait en pleine océan. «
Bah si c'est comme ça, la question peut se réglé tout de suite, je n'ai qu'à sauter... » s'il l'avait dit d'un tons sérieux je crois que je me serais mise à pleurer sur le champs. Il pouvait pas me quitté comme ça, non, pas maintenant que nous sommes enfin ensemble, que l'on puisse enfin se touché, laisser nos parfums se mélanger entre eux, sentir la respiration de l'autre quand on est l'un contre l'autre. Non, impossible. «
Et bah voyons, maintenant monsieur est suicidaire. Vas-y je t'en prie.» j'hausse un sourcil et croise les bras en me décalant pour lui laisser le passage. «
Par contre compte pas sur moi pour plonger après. Hein. » je me retenais de rire en mordillant un des ongles. «
En fait c'est toi qui veut que notre histoire soit comme titanic, alors si tu veux faire pareil, il faut que je meure... C'est pour cela que j'ai proposer de sauter» je ris légèrement à sa réponse puis reste bras croisés, mon ongles entre mes dents que je mordille toujours. Je plisse un peu les yeux à cause du soleil, le regardant toujours. «
T'inquiète pas je ne sauterai pas, je n'ai pas tellement envie d'aller me jeter dans cette eau glaciale... comme dans titanic» oui c'est vrai que l'eau est pas très chaude dans Titanic. M'enfin, là, il fait chaud alors qu'on est le soir. «
Tu peux y allé là, elle est chaude. » dis-je en souriant. Je lui fais un signe de main lui disant de sauter puis me met devant lui. «
Nan je déconne. Je vais quand même pas te laisser te suicidé alors que je peu enfin t'avoir à moi et rien qu'à moi. » dis-je en souriant doucement. «
Ah non c'est bon j'ai pas envie d'aller faire une saucette ... » je ris légèrement à sa remarque, restant face à lui. «
J'y compte bien, je n'ai pas vraiment envie non plus de te partager avec qui que ce soit. » ça tombait plutôt bien étant donné que moi aussi je n'avais pas envie de le partager. On est pas des libertins quoi. J'ai d'ailleurs pensé au départ qu'il était l'inaccessible, mais finalement rien est jamais impossible. Je ferme les yeux au contact de ses lèvres sur ma peau puis relève mon regard pour croisé le sien. Je me précipite presque -avec une énorme boule au ventre, m'enfin bon- à son cou pour poser mes lèvres contre le siennes. Mon cœur se serrait, puis relâchait d'un seul coup, le contact de ma peau avec la sienne me provoquait d'enorme frisson, j'en aurais presque eut le souffle coupé. Se baiser tant attendu, celui qu'on a toujours voulu et que l'on a longtemps imaginer, virtuellement, avait enfin eut lieu. Il prolonge le baiser, et mes lèvres n'avaient plus envie de quitter les siennes. Je prolonge à mon tour y mettant tout l'amour que je pouvais lui porter puis reposais mes pieds au sol. ( oui je suis petite, et alors. ) Je laisse glisser l'une de mes mains sur son visage, posant ma tête contre son torse en fermant les yeux puis reste dans ses bras m'y sentant tellement en sécurité. C'est au moment où il se mit à rire que j'haussais un sourcil, surprise, je me retournais pour voir ce qu'il regardait puis me retenais de rire à mon tour. «
Je crois qu'on gêne les personnes agées assises plus loin ... Désolé, cela me fait marré de voir leurs visages offusqué. » je finis par baisser le regard, un peu gêné puis lui attrape sa main. «
On fait un tour. », sa main dans la mienne, j'avais l'impression de déjà avoir vécu ça et pourtant ce n'était pas le cas, au contraire : c'était la première fois et plus le temps passerait et plus j'appréhenderait notre relation. Sa main s'entremêlait avec la mienne et je sentais mon corps frissonner. La chaleur de sa main avec la mienne me faisait reprendre mes esprits : il était là, j'étais là, on était là. Ok, je deviens un peu trop fleur bleue, faut que j'arrête ça tout de suite. «
Oui, sans problème, on va par-là ? » son index désigne le pont du bateau qui est un peu plus loin et je lui souris en y allant tout doucement. Je m'appuie contre le bord et lui souris. «
Tu crois qu'on va se lassé de l'un et de l'autre ? » , «
Pourquoi ? Tu penses te lasser de moi plus tard ? » il avait décidé de retourner la question et il avait raison. Pourquoi ? Je n'en savais rien, mais c'est quelque chose dont j'ai extrêmement peur et même si je ne le montre pas forcément, comme là... «
LA BLAGUE ! » je ris légèrement puis regarde l'océan sur lequel nous naviguons. «
Je ne veux pas me lasser de toi... Tu le sais non ? On aurait qu'à ne pas avoir de routine ... C'est ce qui tue les couples la routine. » la routine ça n'a jamais été mon truc et c'est quelque chose que je ne connais pas hors mi... à New-York en fait, donc tout le temps ? Non. Mais, boire, fumée, rentrer pétée, c'est ma routine quand même. Avec les hommes j'en ai pas. J'aime pas, je trouve que ça fait trop "nian nian.", on va dire ça comme ça. «
Je ne veux ni qu'on se lasse de l'un et l'autre ni qu'il y ait une routine. On va oublié les ondes négatives pour le moment hein, ça évitera de broyer du noir. » je souris légèrement puis tournais mon regard vers lui. «
Très bonne idée, je ne veux pas qu'il y est un froid entre nous parce qu'on a été maladroit. » effectivement, moi non plus je n'en avais pas envie. Je souris doucement puis laissais ses lèvres venir se déposer sur les miennes en souriant contre ses lèvres. J'enfouis ensuite mon visage dans son cou me grandissant en me mettant sur la pointe des pieds. Je restai un instant dans ses bras puis je levais mon bras jusqu'à son visage avant de lui volé un baiser et de finir par lui pincé le nez en riant légèrement. «
Et si j'te faisais faire le tour du bateau ? Ça parait bien non ? » je souris puis frôlais sa main avant de l'entremêler doucement avec la mienne à fin de l'entraîner à l'intérieur du bateau.
UNDERCO